
Ateliers Fascias-Danse
Du 19 septembre 2025 au 26 juin 2026 tous les vendredis de 18h30 à 20h hors vacances scolaires
Mise en corps méditative puis découverte et exploration des fascias (théorique et pratique). Visualiser, toucher, ressentir, se mettre à l’écoute de nos fascias et les laisser nous mouvoir, nous émouvoir…
Venir à la Bastide aux étoiles
290 Traverse de l’etoile 13590 MEYREUIL
Le studio se trouve tout au fond de la traverse de l’étoile
Parking gratuit
Billetterie en ligne ou paiement sur place.
Réservation obligatoire (jauge limitée à 8 participant·e·s par atelier)
Infos / Résa :
julie.alamelle@mouvimento.org
06 84 37 84 98
Julie ALAMELLE crée en 2024 les projets reliés R.A.L.E.N.T.I.R. et Bulle(s) chorégraphique(s). Dans le cadre de ces créations, elle explore le mouvement des fascias depuis 2019.
En se basant sur une approche kinesthésique et somatique du corps, s’appuyant notamment sur le Body-Mind Centering®, elle cherche « l’écologie interne » en suivant le mouvement des fascias et en découvrant son potentiel de biotenségrité.
La tenségrité (c’est la tension qui maintient l’intégrité d’une structure) est une notion utilisée en architecture. C’est la faculté d’une structure à se stabiliser par le jeu des forces de tension et de compression qui s’y répartissent et s’y équilibrent. Appliquée au corps humain, on parle de biotenségrité : ce n’est pas l’empilement des os par la gravité qui tient notre structure mais plutôt les fascias dans l’équilibre des forces et des tensions qu’ils exercent. Ils permettent à notre corps de « flotter » dans l’espace.
Les fascias (tissu conjonctif présent dans tout le corps) portent un mouvement intrinsèque qui est particulièrement lent mais dont la vitesse n’est pas linéaire. Le mouvement des fascias peut s’assimiler à la peau de l’eau d’une mer calme et dense, avec ses courants, ses accélérations/suspensions.
« Nous sommes l’univers entier en microcosme. Nous faisons corps avec l’univers avec la nature. Un seul corps. C’est une expérience spirituelle de se percevoir comme partie d’un tout. » Anna Halprin